Du 18 au 19 avril 2024, une session d’évaluation a eu lieu à l’Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi (EPAC) sise à l’Université d’Abomey-Calavi (UAC). Elle est effectuée par les experts du Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (Hcéres) qui est une autorité publique indépendante française, chargée de l’évaluation de l’enseignement supérieur et de la recherche publique. L’équipe des experts est constituée de Zakia MESTARI, Chargée de projet Département Europe & International, Olivier BOUTIN, Président du comité, Benoît GABRIELLE, Expert académique, Jean-Dominique CREUTIN, Expert académique et de Mathilde COLAS, Experte étudiante.
L’objectif pour ces experts est d’apprécier, d’évaluer selon les critères de leur référentiel et de contrôler la véracité des documents, éléments de preuve à eux envoyés auparavant sur place relatifs à l’offre de formation du Master en Aménagement et Protection de l’Environnement (APE) appartenant au département du Génie de l’Environnement de l’EPAC. A l’entame de cette évaluation, il y a eu échanges de civilités d’une part entre les experts et l’équipe rectorale et d’autre part entre les experts et l’équipe de la direction de l’EPAC avec à sa tête le Professeur Alain Guy ALITONOU. Après cette étape, place a été donnée à la présentation détaillée de l’EPAC, sa formation du Master en APE et les différents acteurs qui interviennent dans la livraison des enseignements. Ensuite, conformément au chronogramme établi, les experts ont rencontré les enseignants du Master APE, les responsables de la Cellule Interne d’Assurance Qualité (CIAQ) de l’EPAC, les partenaires académiques et socio-économiques, les anciens étudiants et les étudiants actuellement en cours de formation en APE. A tout ceci s’ajoutent la visite des différents laboratoires, de la bibliothèque de l’EPAC et une rencontre de synthèse.
Notons enfin que cette évaluation est rendue possible grâce à l’appui du projet College of Engineering en Energie, Infrastructures de transport et Environnement (CoE-EIE) cofinancé par la Banque Mondiale et l’Agence Française de Développement pour une durée de cinq ans. 
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